8 mars. Retraite pour tou.te.s : pour un communisme sans croissance
Alors qu’il y a 2-3 mois, la résignation semblait être le destin de la réforme des retraites, la mobilisation àLire la suite…
Philosophe-essayiste, (p)artisan de la décroissance
Alors qu’il y a 2-3 mois, la résignation semblait être le destin de la réforme des retraites, la mobilisation àLire la suite…
Si aucun des arguments qui prétendent justifier aujourd’hui les inégalités de revenu (talent, diplôme, responsabilité et expérience) n’est plus valable quand on ne travaille pas/plus, pourquoi alors le montant des pensions n’est-il pas le même pour toutes et tous ? Pour une critique offensive, il faut une contre-proposition radicalement solidaire. Tribune publiée sur le site Regards.fr, le 2 mars.Lire la suite…
Le gouvernement dissimule son objectif (libéral) d’accentuer le devenir-jetable du travail derrière la promotion (productiviste) de la valeur (du) travail. Mais pourquoi se priverait-il d’abuser de cet affichage quand il sait qu’une partie de son opposition institutionnelle partage la même conviction favorable au « travail » ?Lire la suite…
Michel Lepesant, fondateur de la Maison commune de la décroissance, défend, dans une tribune au « Monde », l’idée d’uneLire la suite…
Retraites : pour une critique offensive, il faut une contre-proposition systémique Nous publions néanmoins cette tribune que Reporterre a refusé. C’estLire la suite…
Sous le régime de croissance, le présent n’a de sens que s’il est absent, que s’il est interprété comme une demande plutôt qu’une offre, comme un manque plutôt qu’un cadeau. Dans le présentisme du régime de croissance, le présent n’existe que comme passage, comme instant et immédiateté, aux dépens d’un présent comme durée et comme médiation, comme « brèche » (Hannah Arendt).Lire la suite…
La qualification française pour la finale de la coupe du monde de football est d’ores et déjà la victoire médiatique de l’aliénation volontaire en mode abstraction.
Les « raisons » pour boycotter tous les matchs de ce spectacle sont pourtant exactement les mêmes que celles qui alimentent une critique cohérente du monde absurde que nous qualifions de « régime de croissance ».Lire la suite…
Est-ce à partir de la société que se construisent les individus ou bien est-ce à partir des individus que se fabrique une société ? Dans le premier, nous partons d’une « vie sociale » ; dans le second cas, nous aboutissons à une « vie en société ».Lire la suite…
Dans le noyau de la décroissance commune défendue par la MCD, la vie sociale constitue l’objectif de la décroissance : le bon sens de la décroissance, c’est le bon sens d’une vie sensée. Le contresens, c’est la valorisation d’une conception erronée de la société, celle qui prétend définir la société comme une association d’individus isolés et qui ne participent à la vie en société qu’à partir de leurs intérêts bien compris.
C’est cette conception erronée de la société que nous appelons « individualisme » : l’individualisme sape « la vie sociale » et la remplace par « la vie en société ».Lire la suite…
Pourquoi plaider en faveur de la vie sociale ? Pourquoi faire de la défense de la vie sociale l’objectif d’une décroissance politique ? Cet objectif n’est-il pas déjà la défense écologique de la nature ?Lire la suite…
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