Les limites de l’espace écologique ne sont pas des entraves mais les conditions écosystémiques (naturelles et sociales) d’une vie sereine dans une société juste et démocratique. Une manière non pas de placer l’écologie au cœur de la politique mais exactement l’inverse, replacer la politique au cœur de l’écologie.Lire la suite…

Atte Oknasen, citoyen franco-finlandais, a publié il y a quelques mois un livre dans lequel le terme de « décroissance » n’apparaît jamais mais qui attire quand même l’attention, au moins par son titre : Le bien-être, un projet politique (aux éditions Utopia, nov. 2022).

En effet, le bien-être n’est-il pas l’une des réponses possibles à la question : « pourquoi décroître ? ».Lire la suite…

Voilà les trois conditions – de la politique, de la théorie, du sens – que la MCD prétend remplir pour relever le défi d’une sortie du régime de croissance. A ne pas remplir l’une d’entre elles, ce que l’on risque d’obtenir c’est un régime de croissance sans croissance. On ne peut rien imaginer de pire !Lire la suite…

Attention à ce que la décroissance-parapluie ne retrouve pas les brouillards de la décroissance-nébuleuse.
C’est pour éviter ce retour que nous faisons le diagnostic qu’un tel éparpillement provient d’abord d’une faiblesse dans la politisation de la décroissance et que nous nous demandons alors comment réussir à y échapper ?Lire la suite…

Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?Lire la suite…