Ce à quoi nous assistons depuis quelque temps semble particulièrement risqué. Ce n’est plus seulement quelques éclaireurs d’extrême-droite qui viennent explorer le territoire de la décroissance mais c’est l’inverse : il y a des décroissants qui vont fréquenter les terroirs de l’extrême-droite ; parce que leur décroissance ne les retient pas de franchir la ligne rouge.Lire la suite…

Que la grenouille de la décroissance ne se prenne pas pour le bœuf de la prochaine hégémonie culturelle. Il faut dénoncer ce qui constitue un danger interne à notre propre mouvance : « l’individualisme décomplexé ».Lire la suite…

Refuser d’en faire une catégorie générale (un « genre ») et renverser le discours « travailliste » dominant (à gauche comme à droite, dans le capitalisme comme dans l’anticapitalisme) en faisant du travail une « espèce » d’activité. C’est le travail qui est une espèce d’activité, ce n’est pas l’activité qui est une espèce de travail.Lire la suite…

Les limites de l’espace écologique ne sont pas des entraves mais les conditions écosystémiques (naturelles et sociales) d’une vie sereine dans une société juste et démocratique. Une manière non pas de placer l’écologie au cœur de la politique mais exactement l’inverse, replacer la politique au cœur de l’écologie.Lire la suite…

Quelques remarques constructives à condition d’y voir un repérage des obstacles politiques qui pourraient saper la constitution d’un corpus d’analyses destinées à garantir la robustesse politique d’une apparition de la décroissance dans le débat public.Lire la suite…