Chacun peut constater que si la décroissance se définit d’abord par la limitation des « ressources » alors elle reste prisonnière du monde de la rareté, qui est celui de la croissance ; comment sortir de ce piège ? En repensant l’économie à partir de l’abondance plutôt que de la rareté. Et en reposant la question de la répartition : entre garantie de l’indispensable et dépense partagée de l’excédent.Lire la suite…

On pourrait se féliciter d’une société qui aurait fait le choix de faire passer la santé avant l’économie mais en réalité il n’y a là qu’une avancée supplémentaire et peut-être irréversible d’un contrôle sur les conditions d’autonomie de nos vies personnelles.Lire la suite…