Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?Lire la suite…

A l’occasion d’une intervention récente, je défends ici l’idée que ceux qui désirent réellement préparer la transition décroissante doivent commencer par repérer les zones de frictions, de controverses, de problèmes provoqués en interne par les propositions décroissantes elles-mêmes.Lire la suite…