La qualification française pour la finale de la coupe du monde de football est d’ores et déjà la victoire médiatique de l’aliénation volontaire en mode abstraction.

Les « raisons » pour boycotter tous les matchs de ce spectacle sont pourtant exactement les mêmes que celles qui alimentent une critique cohérente du monde absurde que nous qualifions de « régime de croissance ».Lire la suite…

Est-ce à partir de la société que se construisent les individus ou bien est-ce à partir des individus que se fabrique une société ? Dans le premier, nous partons d’une « vie sociale » ; dans le second cas, nous aboutissons à une « vie en société ».Lire la suite…

Dans le noyau de la décroissance commune défendue par la MCD, la vie sociale constitue l’objectif de la décroissance : le bon sens de la décroissance, c’est le bon sens d’une vie sensée. Le contresens, c’est la valorisation d’une conception erronée de la société, celle qui prétend définir la société comme une association d’individus isolés et qui ne participent à la vie en société qu’à partir de leurs intérêts bien compris.

C’est cette conception erronée de la société que nous appelons « individualisme » : l’individualisme sape « la vie sociale » et la remplace par « la vie en société ».Lire la suite…

A partir du moment où on commence à soupçonner qu’il ne faut pas confondre le système capitaliste et le monde de la croissance – ce qui n’interdit pas des interactions fécondes -, alors il n’y a plus qu’un pas pour arriver à distinguer entre une critique anticapitaliste et une critique décroissante.Lire la suite…