La retraite inconditionnelle, une étape vers le revenu inconditionnel La Maison commune de la décroissance porte une proposition politique forteLire la suite…

Et voilà la conséquence logique qui devrait alimenter une réforme juste : l’abandon du principe des annuités, c’est-à-dire le droit inconditionnel à bénéficier à partir d’un âge démocratiquement, socialement et écologiquement débattu d’une pension de retraite. Et comme ce montant ne dépend plus du temps de « travail », alors il doit être le même pour toutes et tous.Lire la suite…

A partir du moment où on commence à soupçonner qu’il ne faut pas confondre le système capitaliste et le monde de la croissance – ce qui n’interdit pas des interactions fécondes -, alors il n’y a plus qu’un pas pour arriver à distinguer entre une critique anticapitaliste et une critique décroissante.Lire la suite…

Jusqu’à quel point celui qui prétend critiquer la croissance a-t-il décolonisé son propre imaginaire des modes de vie et des récits favorables à la croissance ? Jusqu’à quel point a-t-il déconceptualisé (déconstruit) sa propre conception de la décroissance ?Lire la suite…

Et voilà le danger : « Si nous n’avons pas la force de détruire nous-mêmes l’énergie en surcroît… c’est elle qui nous détruit, c’est nous-mêmes qui faisons les frais de l’explosion générale ». Du point de vue de cette « économie générale », il n’y a selon G. Bataille que trois façons de dissiper cet excédent : la guerre, la croissance, la dépense.Lire la suite…

une société de croissance est une société qui fait le choix suicidaire d’anticiper l’inéluctable.
A ce choix, on peut opposer le contre-choix de ne pas anticiper le destin thermodynamique de la vie humaine : c’est le choix de la décroissance. Voilà pourquoi les propositions politiques de la décroissances doivent être faisables et désirables, mais surtout acceptables.Lire la suite…