Nous n’avons pas besoin d’inventer on ne sait quelle finalité extérieure à la nature (ce qui serait un « dessein intelligent ») pour s’en sentir responsable, nous n’avons pas besoin de prétendre en être les sauveurs ou les protecteurs, nous avons juste à avoir pour objectif de prendre la responsabilité d’en assumer la poursuite.

Nous ne le faisons pas pour la nature, nous le faisons pour notre humanité.Lire la suite…

Alors que l’anthropocène apparaît comme la conséquence (écocidaire) d’un projet de maîtrise de la nature (par la technique, par la science…), voilà que certaines voix s’élèvent pour en déduire paradoxalement que serait venu le temps d’un contrôle total de la nature, fût-ce pour la protéger.Lire la suite…

La force du « monde de la croissance » est d’avoir réussi à présenter des partis-pris idéologiques pour des évidencesLire la suite…