On s’est bien amusé, on a beaucoup réfléchi et discuté, on s’est régalé, on s’est reposé, on s’est baladé. Ainsi pourrait se résumer ces (f)estives 2021.
Mais on ne pourra pas s’empêcher de mettre au fur et à mesure de nos disponibilités les comptes-rendus des multiples interventions et ateliers :
- Analyse du décroissance bashing par Fleur Bertrand-Montembault
- Ateliers sur les propositions du collectif décroissance-élections
- Inventaire de ce qui devrait disparaître dans une société post-décroissance
- En quoi la décroissance serait une récession durable : https://ladecroissance.xyz/2021/08/21/recession/
- Plaidoyer décroissant pour un élevage en relation avec l’animal, par Louise Boulard
- Présentation des anarchistes naturiens par Thierry Sallantin
- Les fins de la nature sont impénétrables par Michel Lepesant
- Ateliers sur le post-urbain : défendre le choix de l’exode urbain, ne valoriser que les villes à taille humaine et pratiquer une discrimination négative contre les grandes villes, favoriser le maintien et l’installation de toute vie sociale « à la campagne », reprendre la question du foncier, repenser l’administration des territoires à partir des « voisinages » et des communes, récupérer la souveraineté alimentaire, retracer les réseaux de mobilité, abolir tout espace de relégation et d’exclusion…
- Les paroles de nos goguettes
- Des écosystèmes au territoires de l’autonomie et de la coopération, par Christian Sunt
- Présentation et arpentage du livre de Françoise d’Eaubonne, Écologie, féminisme : Révolution ou mutation ? (1978), par Florence Benoît