Chacun peut constater que si la décroissance se définit d’abord par la limitation des « ressources » alors elle reste prisonnière du monde de la rareté, qui est celui de la croissance ; comment sortir de ce piège ? En repensant l’économie à partir de l’abondance plutôt que de la rareté. Et en reposant la question de la répartition : entre garantie de l’indispensable et dépense partagée de l’excédent.Lire la suite…